En avant la musique

Dessiner le jazz, cela peut sembler paradoxal et pourtant non.

Sa genèse nous renvoie à la souffrance du peuple noir, à son travail dans ses champs de coton, à ses chants qui en rythmaient la cueillette et au rêve d’être un jour affranchi.

Si le temps a gommé la douleur, cette musique reste animée par cette soif de liberté.

C’est en ça qu’elle rejoint mon dessin, un lâcher prise où le trait se sent une âme de note de musique, où l’improvisation régit le geste et ou l’énergie vient des tripes.


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